L’Union européenne doit être au service des Etats sociaux nationaux, et non l’instrument de leur démantèlement. Dans une tribune écrite pour Le Monde, Christophe Ramaux, membre des Economistes atterrés, explique que le plan de relance adopté le 21 juillet par l’UE est un coup d’épée dans l’eau car les mécanismes de concurrence sociale et fiscale entre ses membres restent inchangés.
Retrouvez cette tribune ici (lecture réservée aux abonnés).