Le classement de Shanghaï n’est pas fait pour mesurer la qualité des universités françaises. Dans un entretien accordé au Monde, le chercheur Hugo Harari-Kermadec, membre des Economistes atterrés, explique que ce classement a surtout poussé la France à faire des choix qui vont à l’encontre de « l’esprit de service public ».
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