Les Bleus, les Zad et Macron. Certains se désolent que le peuple soit plus uni autour d’un ballon que de revendications. Mais aucun changement profond de notre société n’aura lieu sans un souffle semblable au 15 juillet, estime Christophe Ramaux, membre des Economistes atterrés, dans une tribune, publiée dans Libération.
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